Prise en charge kinésithérapique des ruptures de la coiffe des rotateurs : influence des nouvelles techniques chirurgicales arthroscopiques ou par voie mini-invasive
Rémy Bleton
Kinésithér Scient 2009,503:35-38 - 10/10/2009
Les techniques arthroscopiques et par voies mini-invasives au membre supérieur ont dramatiquement diminué l'agressivité du geste chirurgical. Les suites postopératoires ont été ainsi grandement simplifiées, aboutissant à un raccourcissement de la durée d'hospitalisation, et à un allègement de la prise en charge kinésithérapique initiale.
Le glissement de la prise en charge de rééducation en hospitalisation complète vers les soins de ville ou l'hospitalisation de jour est particulièrement net pour la chirurgie du membre supérieur et les réparations de rupture de coiffe des rotateurs. L'arthroscopie n'a néanmoins pas changé les délais et les mécanismes de cicatrisation. La vigilance reste de mise.
L'exigence d'une bonne connaissance théoriques et des contraintes spécifiques aux réparations de coiffe des rotateurs est particulièrement importantes. La prise en charge en kinésithérapie de ville ne peut se faire qu'à ces conditions.
Le glissement de la prise en charge de rééducation en hospitalisation complète vers les soins de ville ou l'hospitalisation de jour est particulièrement net pour la chirurgie du membre supérieur et les réparations de rupture de coiffe des rotateurs. L'arthroscopie n'a néanmoins pas changé les délais et les mécanismes de cicatrisation. La vigilance reste de mise.
L'exigence d'une bonne connaissance théoriques et des contraintes spécifiques aux réparations de coiffe des rotateurs est particulièrement importantes. La prise en charge en kinésithérapie de ville ne peut se faire qu'à ces conditions.