PARCOURS DE MARCHE
Le Plat Patrick, Joëlle Leterme, Gilles Vaysse, Christelle Dargent, Jean-Yves Roussy, Claire Moinecourt
Kinésithér Scient 2009,497:35-40 - 10/03/2009
Contexte : l'équipe de rééducation gériatrique de l'Hôpital Corentin-Celton dresse un premier bilan de l'utilisation du parcours extérieur de marche réalisé lors de la construction des nouveaux bâtiments.
Objectifs : réaliser un retour d' expérience lié à l'utilisation de ce parcours de réadaptation. Évaluer l'intérêt d'un tel outil lors de la prise en charge kinésithérapique pour la préparation du retour à domicile.
Méthode : sur une période de 15 mois, évaluation par les masseurs-kinésithérapeutes des progrès de 50 patients à l'aide d'une grille répertoriant les différents obstacles proposés.
Résultats : la population est constituée de 24 % d'hommes et 76 % de femmes avec une moyenne d'âge de 83 ans. 40 % d'entre eux relèvent de la polypathologie. 84 % retournent à domicile.
Les résultats montrent une progression globale entre la première prise en charge et la dernière (KHI-2 p < 0,05). 48 % de la population a un taux de réussite supérieur à 51 % lors de l'évaluation initiale. L'ensemble des exercices permet une amélioration globale de la performance. Les résultats par items ne sont pas significatifs.
Conclusion : le parcours extérieur de marche constitue avant tout un outil d'évaluation. L'émergence de nouveaux projets lui permettra de conforter sa place parmi les techniques de réadaptation.
Objectifs : réaliser un retour d' expérience lié à l'utilisation de ce parcours de réadaptation. Évaluer l'intérêt d'un tel outil lors de la prise en charge kinésithérapique pour la préparation du retour à domicile.
Méthode : sur une période de 15 mois, évaluation par les masseurs-kinésithérapeutes des progrès de 50 patients à l'aide d'une grille répertoriant les différents obstacles proposés.
Résultats : la population est constituée de 24 % d'hommes et 76 % de femmes avec une moyenne d'âge de 83 ans. 40 % d'entre eux relèvent de la polypathologie. 84 % retournent à domicile.
Les résultats montrent une progression globale entre la première prise en charge et la dernière (KHI-2 p < 0,05). 48 % de la population a un taux de réussite supérieur à 51 % lors de l'évaluation initiale. L'ensemble des exercices permet une amélioration globale de la performance. Les résultats par items ne sont pas significatifs.
Conclusion : le parcours extérieur de marche constitue avant tout un outil d'évaluation. L'émergence de nouveaux projets lui permettra de conforter sa place parmi les techniques de réadaptation.