Quand prescrire les substituts nocotiniques ? (1ère partie)
Bertrand Selleron, Véronique Massé
Kinésithér Scient 2016,0575:51-53 - 10/04/2016
L'arrêt du tabac est actuellement le principal moyen d'enrayer l'évolution de la BPCO ou des maladies athéromateuses. Mais seulement un patient sur deux parvient à arrêter dans l'année qui suit un infarctus du myocarde. La loi de modernisation du système de santé offre la possibilité aux kinésithérapeutes de prescrire des substituts nicotiniques [1] ou traitements nicotiniques de substitution (TNS).