Le signe et le pseudo-signe de Stemmer : un signe différentiel des oedèmes
Serge Theys, Jean-Claude Ferrandez, Jean-Yves Bouchet
Kinésithér Scient 2008,494:35-41 - 10/12/2008
Le signe de STEMMER a été décrit par cet auteur en 1976. Il teste la possibilité ou l'impossibilité de froncer la face dorsale de la peau de la première phalange du deuxième orteil. Classiquement, il est considéré positif quand on ne peut pas réaliser ce froncement et négatif quand cela est possible. Quand il est positif, on lui attribut le caractère pathognomonique de l'insuffisance lymphatique du membre inférieur.
La réalité clinique est sans doute différente et plus subtile. Il existe des vrais et des faux positifs comme de vrais et de faux négatifs.
Ce signe doit être complété par le pseudo-signe de Stemmer qui enrichit la précision du diagnostic. Il peut être étendu au membre supérieur.
Enfin, ce dernier signe répété différents étages des membres permet de suivre l'efficacité du traitement.
La réalité clinique est sans doute différente et plus subtile. Il existe des vrais et des faux positifs comme de vrais et de faux négatifs.
Ce signe doit être complété par le pseudo-signe de Stemmer qui enrichit la précision du diagnostic. Il peut être étendu au membre supérieur.
Enfin, ce dernier signe répété différents étages des membres permet de suivre l'efficacité du traitement.